On pense que les protéines ont une grande importance pour tout athlète. Il est logique que la popularité croissante des additifs alimentaires parmi les athlètes ait amené un groupe de spécialistes intéressés par ce phénomène. Une étude approfondie a été menée sous le titre « Effets de la consommation de protéines de soja et de lactosérum chez les hommes ». Les résultats de la recherche ont été publiés dans le journal de l'American College of Nutrition. Cette publication confirmait des travaux scientifiques antérieurs consacrés à l’étude des effets de la consommation de protéines de lactosérum et de soja sur les niveaux de l’hormone testostérone dans le sang en réponse à la musculation.
William J. Kraemer, qui a dirigé l'étude, témoigne que les informations fournies étaient uniques en ce qui concerne l'utilisation de protéines par les hommes lors de l'exercice. L'expérience a impliqué 10 hommes entraînés avec des poids. L'indicateur d'âge des représentants du sexe fort était de 20 ans ou plus.
Un groupe d'hommes a été divisé en trois types:
- isolat de sérum;
- isolat de soja;
- groupe contrôle placebo.
Les autres additifs n'ont pas été consommés. Les citoyens qui se considèrent comme végétariens ou qui suivent un régime riche en protéines ont été exclus de l'étude. Pendant deux semaines, les participants à l'expérience ont mangé 20 grammes de l'un des suppléments nutritionnels. Chaque matin, après leur adoption, ils effectuaient des squats pondérés, qui consistaient en six séries de 10 répétitions utilisant une charge correspondant à 80% du maximum. À la suite des expériences, les résultats obtenus ont clairement démontré aux chercheurs que la consommation de protéines de soja abaissait le niveau de testostérone dans le sérum sanguin. Pour les hommes appartenant au groupe des protéines de lactosérum, on pouvait observer un affaiblissement de la libération de cortisol. Sur cette base, l'utilisation de suppléments de protéines peut modifier la réponse des propriétés physiologiques à la musculation. Tout dépend du type de protéine utilisé. Ainsi disent les créateurs de l'étude.
